Une brise d'été rafraîchit la forêt

Une grille gratuite point de croix offerte par Arachné.


« La forêt est une cathédrale végétale où l’homme retrouve son âme et se connecte à l’univers. »

Georges Duhamel


« La forêt est le poumon de la Terre, elle nous donne l’oxygène dont nous avons besoin pour vivre. »

Auteur inconnu


« Entrer en forêt, c’est comme entrer dans un temple sacré où l’on se sent en harmonie avec la nature et l’univers. »

Hermann Hesse


L’été, lorsqu’arrive la canicule, la forêt devient refuge, écrin de verdure, havre de paix, de sérénité et de quiétude. Car dans la forêt les arbres majestueux dressent leurs cimes vers le ciel créant ainsi une ombre propice nous invitant à la promenade et à la détente.
Sous cette voûte de verdure, le souffle léger de la brise d’été caresse la peau, apportant un soulagement bienvenu à la chaleur étouffante.
Les arbres se balancent doucement au gré du vent, révélant le bruissement de leurs feuilles en un murmure apaisant.
Les rayons du soleil filtrent à travers les branches et forment des jeux de lumière et d’ombre sur le sol couvert de mousse.
L’air est embaumé d’odeurs boisées et le chant des oiseaux résonne à travers les feuillages.
Chaque souffle d’air semble nous apporter une nouvelle énergie, une nouvelle inspiration.
Dans la forêt, la brise d’été rafraîchit nos esprits échauffés, nous invitant à nous laisser emporter par la magie de ce lieu préservé où le temps semble suspendu.

Dans la forêt
Une brise d’été rafraîchit,
Les arbres se dressent haut,
Les rayons du soleil
Créent des jeux d’ombres,
Les feuilles frémissent,
Les oiseaux chantent,
Le sol est mousseux,
La vie foisonne,
La forêt respire et vit,
La brise d’été nous rafraîchit.

C B


La forêt magique

Viens, marchons d’un pas vif dans la forêt profonde !
Humons cette fraîcheur humide du matin,
Suivons le clair sentier qui monte et vagabonde
Parmi les fûts puissants des odorants sapins !

Le sous-bois est empli d’une brume légère,
Flottant, fantomatique, à l’entour des hauts troncs
Qui filtrent du soleil les flèches de lumière
Créant un féerique éventail de rayons.

Ces bois semblent déserts et cependant palpitent
D’une abondante vie et l’on perçoit non loin,
Au sein des verts fourrés que tout un monde habite,
Le poids de longs regards d’invisibles témoins.

Un oiseau nous surprend par son battement d’ailes,
On entend tout là-bas d’un bûcheron les coups,
Le murmure du vent parmi les tiges frêles
Ou bien l’écho lointain du doux chant du coucou.

Certains sons font penser à des voix étouffées,
On s’attend presque à voir dans le bois silencieux
Apparaître des lutins, des sylphes et des fées
Ou les elfes des contes anciens et merveilleux.

Saluons les grands arbres élancés et sublimes,
Demeures des Dévas lumineux et sacrés,
Entrons dans l’harmonie de cette ambiance intime,
Toute emplie de mystère, et de profond secret.

Ô magique forêt, ô divine Nature,
Nous nous fondons en toi et tes bois enchanteurs,
Où la vie demeurée belle, innocente et pure,
Vient abreuver notre âme et charmer notre cœur.

Arnaud Jonquet


À Aurore 

La nature est tout ce qu’on voit,
Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime.
Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit,
Tout ce que l’on sent en soi-même.
Elle est belle pour qui la voit,
Elle est bonne à celui qui l’aime,
Elle est juste quand on y croit
Et qu’on la respecte en soi-même.

George Sand


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