La fée amie protectrice


Grille gratuite point de croix offerte par Arachné

« Lorsque le premier bébé rit pour la première fois, son rire se brisa en un million de morceaux, et ils sautèrent un peu partout.
Ce fut l’origine des fées. »

James Barrie


« La bonne grâce est le vrai don des fées.
Sans elle, on ne peut rien ; avec elle on peut tout. »

Charles Perrault


« Les fées nous échappent. Elles sont radieuses et on ne peut les saisir, et, ce qu’on ne peut pas avoir, on l’aime éternellement. »

Jules Renard


« À la naissance d’un enfant, si sa mère demandait à sa bonne fée de le doter du cadeau le plus utile pour lui, ce cadeau serait la curiosité. »

Eleanor Roosevelt


La fée, être légendaire des contes. 

La fée amie veille sur les humains et les protège.
Serviable, la bonne fée est dotée de pouvoirs magiques et protecteurs, elle observe secrètement avec soin et affection celui ou celle qu’elle a choisi de protéger.
Son énergie positive et son amour inconditionnel en font une précieuse alliée.
Elle est dotée d’une imagination débordante et trouve toujours des solutions originales à tous nos problèmes et situations complexes.
Parfois espiègle, elle aime nous jouer des tours légers et amusants.
Soyons vigilants, à l’écoute des signes subtils qui pourraient indiquer la présence bienveillante d’une fée amie protectrice auprès de nous.

Fée amie fidèle
Tu veilles sur moi avec bienveillance
Ton cœur est doux et sensible
Quand les tempêtes soufflent et grondent
Tu est là, tel un phare, et me guide
Ô douce fée au grand cœur
Ta tendresse est un baume précieux
Dans ce monde parfois plein de frayeur
Ô douce fée au grand cœur
Tu tisses mes rêves au fil des saisons
Le fil de l’éternité.

Si par bonheur, un soir,
A l’orée d’un bois,
Vous croisez son ombre,
Entendez le murmure de sa douce voix
Tendez-lui la main

C B


Les fées

Elles prononcent des vœux au-dessus des berceaux
Leur voix mélodieuse nous chante des berceuses
Elles mettent leur cœur qui est d’or blanc au bout des doigts
Quand elles soufflent dessus scintillent des étoiles

Elles sont comme les feuilles dans un beau paysage
Au passage des saisons elles changent de couleurs
Elles connaissent les mots qui calment la douleur
Et changent les petits maux en des tapis de fleurs

Pour faire un don elles utilisent une baguette
Qu’elles font tourner avec un mouvement d’hélice
Et quel délice on croit entendre des phrases familières

Dès l’instant qu’on écrit elles se penchent sur nous
On sent leur souffle chaud à la base du cou
Comme la venue d’un papillon sur notre épaule

Alain  Hannecart


Les fées 

Je ne pouvais jamais dormir
Sans que j’invente pour ton plaisir
Des histoires de magiciens qui font tout avec rien,
Et j’inventais, pour que tu dormes,
Dans la chambre, les soirs de pluie,
Des crocodiles en haut-de-forme
Et des grenouilles en queue-de-pie,
Et des fées à n’en plus finir.
Et des fées à n’en plus finir. 

Y avait la fée aux yeux mauves
Que l’on regarde et qui se sauve,
Et la fée des vents de la nuit
Que l’on appelle mais qui s’enfuit,
Et puis la fée dans la lagune
Qui s’amuse à couper la lune
En milliers de petits morceaux,
Et qui les fait danser sur l’eau.
Et quant à la fée Carabosse,
Elle t’emportait dans son carrosse,
Et tu fouettais les cent chevaux
Jusqu’à la mer au grand galop.
C’est alors que tu t’endormais.
Moi, doucement je m’en allais
Bercer mon cœur de ton sourire
Plein de rêves et de souvenirs,
Et des fées à n’en plus finir.
Et des fées à n’en plus finir. 

Puis, un jour tu as dû grandir,
Toutes les fées ont dû partir,
Avec elles les magiciens
Qui font tout avec rien.
Mais depuis, pour que je m’endorme
Dans la chambre, les soirs de pluie,
Quand les nuits sont trop monotones,
Je repense à nos jours enfuis,
Et les fées à n’en plus finir
Se rappellent à mon souvenir.
Y avait la fée aux yeux mauves
Que l’on regarde et qui se sauve,
Et la fée des vents de la nuit
Que l’on appelle, mais qui s’enfuit,
Et puis la fée dans la lagune
Qui s’amuse à couper la lune
En milliers de petits morceaux,
Et qui les fait danser sur l’eau.
Et quant à fée Carabosse,
Elle est partie dans son carrosse ;
Elle a fouetté les cent chevaux
Jusqu’à la mer au grand galop.
Les enfants, c’est fait pour grandir,
Pour s’en aller vers l’avenir
En laissant derrière eux des rires
Pleins de rêves et de souvenirs
Et des fées à n’en plus finir.
Et des fées à n’en plus finir.

Yves Duteil

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