Toile pour Élisabeth, Mamy

« Une mère ne meurt jamais car on l’appellera toujours maman. »

André Lévy

« L’amour maternel, c’est un amour sans réserve qui ne demande aucune récompense. »

André Maurois

« Le cœur d’une mère est un abîme au fond duquel se trouve toujours un pardon. »

Honoré de Balzac

« L’amour maternel est capable de tous les miracles. »

Jean-Henri Fabre

« L’amour maternel est le plus indépendant de tous les amours, nous aimons notre enfant quel qu’il soit, quoi qu’il fasse, qu’il afflige ou contente notre amour-propre, qu’il réponde à notre tendresse ou qu’il la souffre comme une gêne pour sa liberté, qu’un fils écoute ou repousse sa mère. »

Claire Élisabeth de Vergennes

Élisabeth, Mamy, 

Dans mes pensées, tu es présente à jamais.
Aujourd’hui 17 août est ton jour anniversaire
Et je pense à toi.
Tu es toujours dans mes pensées et dans mon cœur.
Tu es partie depuis longtemps déjà, mais ton affection et ta présence reste gravée en moi.
Je me rappelle toutes les petites choses que tu faisais pour nous, ton dévouement, ta force, ta sagesse, tes conseils réconfortants… et tout cela m’accompagne au fil des jours.
Chaque souvenir que j’ai de toi est précieux.
De là-haut, du Paradis, je sais que tu veilles sur moi, avec attention, tendresse et bienveillance.
En ce jour de ton anniversaire, tu es présente et je te garde près de moi.
Joyeux anniversaire à toi, Mamy, Élisabeth, là-haut au Paradis.

Mamy,
je pense à toi
je te sens présente
toujours près de moi
tu veilles sur moi depuis là-haut
tu es présente à jamais

C B

Comme tel qui parle de sa mère
Lui ressemble en parlant,
Ce pays ardent se désaltère
En se souvenant infiniment.

Tant que les épaules des collines
Rentrent sous le geste commençant
De ce pur espace qui les rend
À l’étonnement des origines.

Rainer Maria Rilke

Des milliers d’étoiles dans le ciel,
Des milliers d’oiseaux dans les arbres,
Des milliers de fleurs au jardin,
Des milliers d’abeilles sur les fleurs,
Des milliers de coquillages sur les plages,
Des milliers de poissons dans les mers,
Et seulement, seulement une maman.

André Bay

L’amour maternel 

Dans cette vie humaine où tout n’est que chimère,
Où chaque sentiment vif et beau se ternit,
Où le plus étroit nœud demain se désunit,
Où la douce amitié bientôt devient amère,
L’amour maternel n’est point chose éphémère,
II ne trompe jamais, et jamais ne finit.
Le vaisseau vole au port, l’oiseau vole à son nid,
Et le cœur de l’enfant vole au cœur de la mère.
Le doute affreux se glisse en chaque attachement,
L’expérience est triste et cache un ver en elle,
Si l’on aime beaucoup, l’on craint profondément.
Mais qui ne douta jamais de l’âme maternelle ?
L’amour coule de source en ce grand sentiment,
Et la lèvre du fils boit à l’onde éternelle.

Évariste Boulay-Paty