Cheval sauvage

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« Les chevaux sont des créatures mystérieuses, ou divines. »

Proverbe indien


« L’homme n’aura jamais la perfection du cheval. »

Baruch Spinoza


« Un cheval pense, ressent les choses, prend des décisions. Traitez-le comme un ami non comme un esclave. »

Ray Hunt


« Le respect du cheval, c’est la fondation de la liberté. »

Alexis Gruss


« Être heureux à cheval, c’est être entre ciel et terre, à une hauteur qui n’existe pas. »

Jérôme Garcin


Cheval sauvage

Un cheval sauvage au pelage luisant se tient là, majestueux, esprit indomptable et libre.
Ses yeux vifs scrutent l’horizon dans son regard miroite la sagesse.
Soudain, il s’élance dans un nuage de poussière, sa crinière, longue et ondulante dansant dans les airs. 
Le galop du cheval sauvage est un ballet de force et de grâce, une cavalcade effrénée.
Il n’a de maître que le vent, les herbes hautes se courbent sous son passage.
Galopant à toute allure ses muscles puissants s’étirent et se contractent avec élégance, chacune de ses foulées résonne d’indépendance.
Le cheval sauvage est un poème vivant, une ode à la nature sauvage et à l’esprit téméraire.

Cheval sauvage
fier et majestueux
libre et sage
esprit indomptable
symbole de la puissance
éternelle et triomphante
hymne à la vie.

C B 


Sonnet pour un Cheval

Quelques pas, un saut et il s’élève au Firmament
Merveilleux être de lumière divine
Fils élu de cette Nature Sublime
Alchimie organique des quatre éléments

Cheval tu es le Feu qui fait brûler le vent
Le souffle d’Air de la Beauté Parfaite
L’animal de la Terre au profil d’Athlète
Qui comme l’Eau, coule au gré du Temps

Pégase de la Nuit je suis Bellérophon
Pur-Sang inaccessible et Roi comme le Lion
Cheval tu tiens dans ton cœur le monde

Étalon de légende, passion céleste de Chine
Puissant comme Perceval, Hercule ou bien Odin
Tu es l’Universel, tu propages le Bien

Winston Perez


Le cheval

J’aime porter de longs cheveux
Comme une femme,
J’aime porter un amoureux
Près de sa dame,
J’aime porter le poids fatal
Des inconnus,
J’aime porter le long du val
Les bienvenues.
J’aime la poudre du chemin
Sur mon visage,
J’aime le conseil de la main
Qui m’encourage.
Je fuis mon ombre de cheval
Courant la plaine,
Je crains mon reflet animal

Louise de Vilmorin


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